C'est le titre d'un pamphlet de Gustav Caroll que je vous conseille en ces temps de Jeux Olympiques (notez les majuscules) non stop.
Quelques morceaux choisis pour vous mettre l'eau à la bouche:
"Le sport recrute parmi ceux qui ne peuvent pas dire non : les enfants, les esclaves, les pauvres, les simples d'esprit."
Parlant du football américan: "Entre 1873 et 1878, une cinquantaine d'athlètes trépassent sur les terrains en s'adonnant à la poésie du mouvement." et "Le football américain est l'activité humaine qui a le plus fait pour la recherche médicale sur les fractures".
Bon je pourrai citer tout le livre tellement c'est une suite savoureuse d'arguments contre le sport qui me chatouille les neurones car hautement politiquement incorrect.
Evidemment vous avez deviné que le sport et moi ça fais deux. Je me suis souvent demandé pourquoi une des (pseudo) valeurs du sport : la compétition, fait autant l'unanimité et est transposée dans d'autres activités, alors que pour moi la coopération est souhaitable. Et bien la réponse se trouve dans le livre.